Est ce vraiment si différent que le reste. Si on regarde bien, mais peintre favoris sont toujours occupés par ce qui m'occupe moi même: la profondeur des choses, des émotions, des sensations plus que par l'esthétiquement beau. Un jour, une jeune fille m'a dit que j'étais naïf ( toujours et encore, ce mot je l'ai sampler dans ma tête ) de penser que l'art qu'elle aimait était une porte sur sa manière de ressentir la vie. Elle n'aimait, en fait, ce qu'on lui disait d'aimer. je m'aperçoit ( tout autant chez les étudiants que chez les autres "jeunes" ) que les goût sont préétablit par rapport à ce que pense l'entourage, pas par rapport a leurs propres émotions . Pourtant, le gros naïf que je suis, à des goût décrit comme particulier par ses proches. Mais ces goût particuliers me représente moi pas du tout mon entourage ( c'est une des raisons aussi de mon incruste arachnoïdienne: d'autre personnes sont peut être proche de mes putains de goûts ). On peut tisser un fils entre Tricky, Fincher et Lynch, Witkin, Bacon ou Kafka: ce qu'on peut appeler : l'esthétique du laid. Le laid à cela de supérieur sur la beauté, qu'il dure toujours, disait Serge Gainsbourg. Le style et la beauté ne m'intéresse que rarement, je préfère être déranger que comblé. je préfère regarder l'intérieur que m'arrêter à la surface . Voici donc quelques peintures de mes peintres favoris.
Fragonnard