Theme From To Kill A Dead Man de Portishead ( le chef d’œuvre du groupe. Du Ennio Morricone saupoudré de John Barry en beaucoup, mais alors là beaucoup plus sombre !!! On reconnaît aussi tout de suite Portishead grâce au « son » Portishead : Adrian Utley, guitariste de jazz, qui prendra lors du deuxième album son envole, pour confirmé que Portishead fonctionne tout d’abord comme un collectif. Portishead, n’est pas QUE Geoff Barrow et Beth Gibbons.

 

 Sans conteste un trésor insoupçonné de la discographie de Portishead. Conçu pour accompagner le court-métrage réaliser (et interprété) par Portishead,. Du piano torturé aux violons inversés, en passant par une guitare digne d'Ennio Morricone, Portishead montre une fois de plus son talent pour la création d'atmosphères décalées. 

 

Une merveille… Quand au court métrage, l’arlésienne de Portishead j’en ferais un descriptif virtuel en prenant comme base, les chansons du court. ) 

Double album remix :  mourning time

   

It’s A Fire  de Portishead ( Mélange autant la sonorité des Doors et le blues de la nouvelle Orléans sous forme d’une confidence mélancolique. Contrairement aux idées à jamais reçut, Portishead n’est pas un groupe pour déprimés mais un collectif d’artistes aux génies créateurs, ne pouvant siée qu’aux âmes sensibles. Portishead ne peut donc pas convenir à des auditeurs de Placebo et autre Muse, voir pire : Garbage. Ceux qui peuvent écouter l’ensemble n’ont rien compris et se précipiteront comme des robots sur le prochain Eels. Il ne faut donc pas confondre Sentiments et reflex conditionnés par la radio et la télévision. ) 

Dummy

 

Extrait :

 

'Cause we need to,

Recognize mistakes,

For time and again.

So let it be known,

For what we believe in,

I can see no reason,

For it to fail.

'Cause this life is a farce,

I can't breathe through this mask,

Like a fool,

So breathe on, sister, breathe on.

 

Parce que nous avons besoin de

Reconnaître nos erreurs

Pour un temps et encore

Alors laisse

Pour ce que l’on croit

Je ne voit aucune raison

Pour le

Parce que la vie est une farce

Je ne peux (…) ce masque

Comme un

 

Glory Box

   

Glory Box ( version Live ) de Portishead ( le classique, en concert.... anthologique. Les scratchs sont d’une subtilité rare pour ce genre d’exercice. Les violons d’une délicatesse, à faire frémir Jean Claude Van Damme. 

Anthologique est  Tout autant, le concert en lui-même, sortie en Vidéo. Pourquoi pas de Dvd ? c’est le concert à avoir en Dvd . Même si il n’a pas été pensé pour cela par Geoff Barrow. C’est à dire pas de possibilité de changer d’axe. D’ailleurs cela aurait été n’importe quoi : le montage même du concert est un chef d’œuvre !!  

Portishead sur scène, avec un orchestre de quarante musiciens à l’appui ( section de cordes et cuivres). Menés par la voix fragile de Beth Gibbons, chaque morceau se voit transfiguré par ce concert, et l’on redécouvre la noirceur  singulière de ce groupe que j’adore et que je suis l'un des seul dans le coin, à vraiment l’écouter d’une oreille sensible ) 

New York Concert

 

Glory Box  ( version Album ) de Portishead (  la boite à gloire….hum, hum, ça me rappelle une chanteuse qui n’avait aucun succès et se saoulait la gueule pour chanter ensuite du Janis Joplin. Ce n’est qu’en rencontrant dans ce même bar, un gentil dyslexique, qu’elle put devenir ce qu’elle est actuellement : La chanteuse de Portishead.

 

 C’est aussi le tube de Portishead : Soit la rencontre d’un jeune homme introverti, à l’adolescence difficile (dyslexie, parents divorcés ( houlala qu’est ce que c’est difficile, en plus c’est hach’ment rare !! ) ) et d’une jeune femme timide et un peu ( de ? ) gauche, issue d’une famille d’agriculteurs d’Exocet. C’est donc à Portishead, ce petit port sans éclat situé près de Bristol que naquit un groupe sans grandes ambitions et qui pourtant, est maintenant aussi connu que l’artiste sans nom. 

 

"Glory Box", single du succès français achève le disque à coup de guitares et sur un autre sample, célèbre, du "Isaac Moods" d'Isaac Hayes. Celui-ci, titre phare de la Wild Bunch et de toute la scène de Bristol sera utilisé à nouveau sur le Maxinquaye de Tricky, alors en gestation. La connexion est ainsi directement établie et une énième légende s'instaure. 

 

Mais plus que ce pourtant glorieux successeur, Dummy demeure, encore maintenant, le disque clé des 90's. Et l'on voit mal quelle merveille pourrait le détrôner. «Les gens sautent rapidement d'un genre à l'autre, selon ce qui est à la mode ou pas. Ceux qui ont aimé Dummy à l'époque sont probablement aujourd'hui de grands fans de drum'n'bass. Alors que nous, nous sommes restés fidèles à ce que nous étions.» - Geoff Barrow (Portishead) Tiens Muse !!! prend ça dans ta gueule. ) 

DumMy 

Glory Box ( version Unplegged ) de Portishead ( comme dirait un vendeur à la Fnac. Cet “unplegged” est beaucoup plus Dark, beaucoup plus roots que la première version du LP. Et tu vois mec.... les guitares deviennent grave noisy vers la fin du Track. Alors, on remercie bien fort le vendeur de la Fnac sans qui bien sur nous ne serions rien. Quant aux paroles, il est marrant de remarquer que certaines filles se préoccupent encore de rechercher l’amour...)   Double album remix :  mourning time

 

Extrait :

 

« Je suis tellement fatiguée de jouer

jouer avec cet arc et cette flèche

Je vais céder mon coeur

Laisser ça aux autres filles qui veulent jouer

Car j'ai trop longtemps été tentée

 

Chorus :

Oh, yeah

Donne moi une raison de t'aimer

Donne moi une raison d'être une femme

Je veux juste être une femme »

 

« I'm so tired of playing, 

Playing with this bow and arrow,

Gonna give my heart away,

Leave it to the other girls to play,

For I've been a temptress too long.

 

Hmm just,

Give me a reason to love you,

Give me a reason to be, 

A woman,

I just wanna be a woman”

Mysterons

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